Roxanne arrive et nous voilà à bord de l’autobus #25 - direction Balata. Quel beau jardin botanique wow, wow et re-wow!!!! Les jardins de Balata, jardin botanique, à tout juste 10 km de FDF - en pleine forêt tropicale. Très manucuré, mais de toute beauté. Vous en jugerez par les photos.
De retour à FDF nous montons dans la 421 - direction Dillon, visiter sa rhumerie. Quelle attrape touriste. Bien que la Dillon s’annonce avec visite de la rhumerie - niet. Il n’y a qu’une boutique de vente. La vendeuse a tout de même l’honnêteté de nous dire que Dillon continue de s’annoncer avec une visite de la rhumerie afin d’attirer les touristes dans sa boutique. Depuis 2006, elle n’offre plus de visite - le site n’est qu’un entrepôt - la distillation se fait chez Depaz. La stratégie fonctionne car André et Roxanne font des achats.
En route vers Ste Anne nous nous arrêtons à Grande-Anse d’Arlet (qui est une de nos anses préférées). La houle du nord est démontée et les rouleaux déferlent sur la plage. Roxanne ne peut résister aux vagues. La matante décide d’y aller de plus belle et se farcie une double et même triple culbute vrillée, avec la margoulette qui lui abouti sur un fond de sable durci – sans compter les gorgées d’eau ingurgitées. Toute une fouille…qui fut sans conséquence et qui nous a bien dilaté la rate.
Question de s’endurcir les mollets pour l’ascension de la Montagne Pelée¸ nous allons à la Savane des Pétrifications et poussons la randonnée jusqu’à l’anse Trabaud. En fait de beauté, cette plage surpasse celle des Salines – moins accessible, donc moins de monde – une belle beauté sauvage. Lyne et Diane, vous auriez aimé….
Le summum de la semaine - l’ascension de la Montagne Pelée. Notre rendez-vous manqué de l’an dernier est maintenant coché. Nous avions monté la Montagne Pelé il y a environ 20 ans dans ces mêmes conditions – brouillard total. L’an dernier, lors de notre arrêt à St-Pierre nous devions en faire l’ascension. Vous vous souviendrez que l’annexe s’était abîmé au quai de St Pierre et nous avions quitté en catastrophe.
Ce fut une belle montée qui offrait un peu de difficulté avec brouillard intense et vent à écorner les bœufs - fort dangereux à certains endroits. Nous sommes toutefois descendus dans la caldeira, un cran de plus qu’il y a vingt ans. Les belles journées sur cette montagne se comptent sur les doigts de la main. Une bonne fatigue nous accompagnait au retour. Retour qui s’est terminé chez Ti-Toques – une bonne table au Marin.
Roxanne nous quitte et nous tentons de combler le vide de sa visite. La montagne Pelée nous a laissé sur notre faim, d’autres randonnées s’annoncent et le carnaval se pointe à l’horizon.
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